Signez notre lettre ouverte pour éliminer l’apatridie et participez au mouvement mondial pour mettre fin à cette injustice.

Merci aux 100529 supporters qui contribuent à changer la vie des millions de personnes dans le monde qui n’ont pas de nationalité.

#IBELONG (#JEXISTE) dans un monde où toute personne a droit à une nationalité.

Aujourd’hui, dans le monde entier, plus de 10 millions de personnes s’entendent dire qu’elles n’existent NULLE PART. 

On les appelle des “apatrides”. Elles sont privées de nationalité, ainsi que de leurs droits fondamentaux.

L’apatridie est synonyme d’une vie sans éducation, sans soins médicaux, sans travail légal.

L’apatridie est synonyme d’une vie sans possibilité de circuler librement, sans perspectives, sans espoir. L’apatridie, c’est inhumain. 

La discrimination est la principale raison pour laquelle les personnes sont apatrides. A cause de leur appartenance ethnique. A cause de leur religion. Parce que, dans certains pays, les femmes ne peuvent pas transmettre leur nationalité à leurs enfants.

Nous estimons qu’il est temps de mettre fin à cette injustice. Avec suffisamment de courage, nous savons que cela est possible. Les gouvernements peuvent modifier leurs lois et leurs procédures pour accorder des droits et un lieu où exister aux personnes apatrides.

En dix ans, nous pouvons garantir que toute personne possède une nationalité. Parce que si nous ne le faisons pas, cette injustice ne fera qu’empirer. Un enfant nait apatride toutes les dix minutes.

Avant que vous n’ayez terminé de lire cette lettre, une autre personne aura sans doute commencé sa vie sans nationalité.

Nous sommes prêts à nous faire entendre. Nous pensons que si nous prenons position, d’autres se joindront à nous. Et si nous sommes suffisamment nombreux à réagir, nous mettrons fin à cette situation inhumaine.

C’est la raison pour laquelle le HCR lance la Campagne pour mettre fin à l’apatridie d’ici dix ans.

Il y a soixante ans, le monde a souhaité protéger les personnes apatrides. Aujourd’hui, il est temps de mettre fin à l’apatridie elle-même.