Session d'ouverture virtuelle
Session d'ouverture virtuelle
Qu'il s'agisse d'aider les personnes vulnérables, de lutter contre la désinformation, de participer bénévolement aux interventions médicales ou de plaider en faveur de l'accès aux services de santé, les réfugiés ont apporté leur contribution en faisant preuve de solidarité et de leadership.
Lors de la session d'ouverture virtuelle du Dialogue du Haut Commissaire sur les défis de protection de cette année, le Haut Commissaire examinera ces contributions avec un groupe de cinq réfugiés et une militante des objectifs de développement durable qui sont engagés dans la réponse à la pandémie.
Ils partageront leurs expériences et débattront des défis en matière de protection et de résilience posés par la pandémie, des solutions qui peuvent être appliquées à l'avenir et des enseignements tirés qui pourraient nous aider à relever d'autres défis mondiaux, tels que les déplacements liés au changement climatique et aux catastrophes naturelles. Ces échanges et ces témoignages prépareront le terrain pour les discussions des séances virtuelles qui suivront.
Inscrivez-vous à la session d'ouverture (Cet événement est sur invitation seulement)
Si vous ne pouvez pas accéder au formulaire d'inscription, veuillez envoyer un courriel à [email protected] en indiquant votre nom, votre adresse électronique, votre fonction, votre organisation, le pays dans lequel vous êtes basé et si vous souhaitez poser une question aux intervenants (facultatif).
Comment participer :
- Soumettez une question aux intervenants et/ou une déclaration avant le début de la séance, soit lors de votre inscription à la séance, soit en envoyant un courriel à [email protected], en ajoutant le nom de la séance dans l'objet.
- Soumettez vos commentaires pendant la séance en utilisant la fonction de chat de la séance disponible sur l'application ou la fonction de questions/réponses de la plateforme de webinaire Zoom.
- Soumettez ici une bonne pratique liée à la réponse à la pandémie pour publication sur la plateforme numérique du Pacte mondial.
Toutes les contributions (questions, commentaires, déclarations et bonnes pratiques) serviront à l'élaboration du document final du dialogue du Haut Commissaire.
Intervenants pour la séance d'ouverture
Fezzeh Hosseini, 38 ans, est une femme médecin réfugiée dans la province d'Ispahan, en Iran. En tant que responsable d'un centre de santé, elle supervise une douzaine de médecins et d'infirmières et, depuis l'épidémie de COVID-19, elle est allée au-delà de ses fonctions médicales pour s'assurer que les Afghans et les Iraniens disposent d'informations sur les services de santé et y aient accès. Elle est née en Afghanistan, mais sa famille a fui le conflit en Iran alors qu'elle n'avait qu'un mois.
Nhial Deng vit dans le camp de réfugiés de Kakuma depuis dix ans. Son père, originaire du Soudan du Sud, a été déraciné par la guerre civile soudanaise dans les années 1970 et a trouvé un nouveau foyer en Éthiopie. Nhial a trouvé l'espoir à Kakuma après avoir fui une attaque armée contre son village en Éthiopie en 2010. Aujourd'hui, il est un activiste communautaire qui aide les jeunes du camp à améliorer leur vie par l'éducation, le mentorat et l'entrepreneuriat social.
Twitter: @NhialGD
Instagram: @nhial_gabe
Facebook: Nhial Gabriel
LinkedIn: Nhial Deng
Hindou Oumarou Ibrahim est une militante de l'environnement, membre de la communauté pastorale Mbororo du Tchad, défenseure des objectifs de développement durable des Nations Unies, présidente de l'Association des femmes et des peuples autochtones du Tchad (AFPAT) et membre du Comité de coordination des peuples autochtones d'Afrique (IPACC). Elle a commencé à défendre les droits des peuples autochtones et la protection de l'environnement à l'âge de 16 ans. Elle a été coprésidente du Forum international des peuples autochtones sur le changement climatique (IIPFCC) lors de la conférence historique des Nations Unies sur le changement climatique (COP21) à Paris. Sa vision est de promouvoir les connaissances traditionnelles et la science pour améliorer la résilience face au changement climatique, en particulier pour les communautés rurales.
Twitter: @hindououmar
Instagram: hindououmar
Facebook: Hindou Oumarou Ibrahim
LinkedIn: hindououmar
Barthelemy Mwanza est un réfugié congolais de 27 ans qui vit actuellement au Zimbabwe dans le camp de réfugiés de Tongogara. Il est le coprésident du Conseil consultatif mondial de la jeunesse du HCR (GYAC), qui fait office de groupe consultatif du HCR sur les questions relatives à la protection et au développement des jeunes réfugiés, déplacés internes et apatrides. Il travaille avec le GYAC en tant que délégué depuis décembre 2017. Dans le cadre de ce rôle, il a assumé un large éventail de responsabilités, notamment la participation à des consultations avec les communautés de réfugiés, la défense des droits, l'identification de bonnes pratiques, la création de réseaux, ainsi que l'identification et le soutien de projets et de programmes en faveur des réfugiés.
Twitter: @BarthMwanza
Instagram: hindououmar
LinkedIn: Barth Mwanza
Shadi Shhadeh, 35 ans, est un activiste syrien qui a étudié le droit à l'université de Damas. Il a été contraint de fuir la Syrie à la fin de 2011, et il vit en Suisse depuis 2013. Shadi a obtenu son diplôme de français langue étrangère à l'Université de Lausanne et travaille maintenant pour l'UOSSM, une organisation de secours médical.
Carmen Alejandra Parra est une Vénézuélienne qui, ayant perdu son réseau de soutien au Venezuela à cause de diverses maladies et du manque d'accès aux soins médicaux, ne pouvait plus nourrir ses enfants ni vivre paisiblement, et est partie au Pérou où elle a demandé l'asile. Pendant deux ans et demi, elle a travaillé comme serveuse, vendeuse, et enfin de retour dans le secteur de la santé, comme réceptionniste dans une clinique de radiographie. Aujourd'hui, elle travaille comme médecin. Depuis près de six mois, elle vient en aide aux personnes atteintes du COVID-19. Veuve à 35 ans, Carmen a trois enfants (13, 6 et 3 ans).
Facebook: Alejandra Parra García