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Un naufrage a coûté la vie à environ 40 personnes, 60 survivants ont été secourus.

Un port sûr leur devrait être immédiatement offert et la responsabilité de leur accueil devrait être partagée entre les États après leur débarquement.

Plus de 500 000 réfugiés rohingyas du Myanmar avaient déjà été enregistrés par les autorités du Bangladesh et le HCR.

L’adoption prévue de mesures durcissant les sanctions envers les opérations de recherche et sauvetage, dont des amendes pouvant aller jusqu’à un million d’euros, est notamment source d’inquiétude.

Les apatrides peuvent être confrontés durant toute leur vie à l’exclusion et à la discrimination, et se voient souvent refuser l’accès à l’éducation, aux soins de santé et à l’emploi. La décision de la Colombie s’avère extrêmement positive pour ces enfants et leurs familles.

Le HCR exhorte de nouveau les Etats à fournir une aide supplémentaire, y compris de nouvelles places de réinstallation.

Instaurer une paix durable en Libye représente une priorité absolue. La communauté internationale devrait faire tout son possible pour amener les parties belligérantes à dialoguer et à trouver une solution politique en vue du rétablissement de la stabilité et de la sécurité.

Plus de 50% des familles ayant fui le Venezuela ont été ou demeurent exposées à des risques spécifiques en exil.

Il faut faire cesser la mise en détention des personnes débarquées en Libye après qu’elles ont été secourues en mer.

Il y a exactement huit ans, le Soudan du Sud a accédé à l’indépendance. Cependant, la paix est loin d’être assurée.