Les réfugiés sont de plus en plus souvent confrontés à des conditions climatiques extrêmes. Dans ce reportage visuel en provenance du Liban, nous vous donnons un aperçu de la vie des familles déplacées pendant les mois d’hiver.
© UNHCR/Andrew McConnell
En raison des conflits en cours en Syrie, des millions de personnes vivent depuis des années dans des camps de réfugiés officiels du HCR et dans des abris informels. La majorité des gens ont trouvé une place dans une ville et louent une chambre ou un appartement. Mais un tiers des réfugiés syriens dépendent des tentes d’urgence ou des abris construits par le HCR. La pluie, les vents glacés et les averses de neige extrêmes créent des conditions difficiles dans la vallée de la Bekaa pour les familles qui doivent vivre ainsi. Malgré cela, les réfugiés syriens essaient de tirer le meilleur parti de cette situation.
Une réfugiée syrienne prend un seau d’eau dans le réservoir du camp de réfugiés de la vallée de la Bekaa au Liban. En attendant, il neige fort. ©UNHCR/Haidar Darwish
Un garçon syrien porte des sacs avec du pain à sa maison dans le camp de Fayda, dans la vallée de la Bekaa. Les maisons ont été construites par les gens eux-mêmes à partir de bois et de plastique. En hiver, il fait extrêmement froid. © UNHCR/Andrew McConnell
Un garçon syrien marche sur ses tongs dans une forte chute de neige à travers un camp d’hébergement dans la vallée de la Bekaa. Il essaie de se protéger la tête avec le capuchon de sa veste. © UNHCR/Haidar Darwish
Les enfants lèvent la main hors de la tente pour attraper un flocon de neige. Malgré les conditions difficiles dans la vallée de la Bekaa, les gens essaient d’en faire quelque chose. © UNHCR/Haidar Darwish
Ahdla, qui a fui la Syrie, accroche le linge sur la corde à linge à Doures où elle séjourne avec sa famille. C’est son sixième hiver au Liban. ©UNHCR/ Diego Ibarra Sánchez
Les années de fuite dessinent le visage de cet homme âgé. Ainsi que le froid glacial pendant l’hiver. Il a fui la Syrie et vit maintenant à Arsal, au Liban. Pour maintenir sa condition, il se promène régulièrement dans le camp d’accueil. ©UNHCR/ Diego Ibarra Sánchez
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